La contrebande du nord

De Louis Rouvière

Chapitre 1

Il était une fois, moi, un jeune pêcheur du nord. Je m’appelle Louis.
Comme tous les matins, je partais pêcher au bord de la mer Arctique.
J’enfilai ma grosse blouse, mes bottes, mon écharpe et mes gants car il faisait froid dehors. Je regardai le thermomètre et je vis qu’il faisait -19°C.
Mais c’est là que mon père me dit:
« – Cette fois on va prendre le bateau de pêche. »
J’en fus content. Mais pas de temps à perdre, on partit au port.
On arriva au bateau, quand je remarquai qu’il y avait trois personnes.
Ils nous dirent :
« – Bonjour !
– Bonjour ! » lançai-je
« – Salut ! Louis, je te laisse. Je vais vendre le poisson qu’on a pêché hier. Et lui il s’appelle Charles, lui Isiode, lui Manier et le conducteur Livone. » répondit mon père.
Ah je n’avais pas remarqué mon ami Isiode avec sa combinaison. je regardai mon père partir. Quand j’entendis trois autre personnes arriver.
L’un deux me parla :
« – bon your je m’appelle Raelchel je sien d’Allemagne, ui qu’est Jule, ui Bylon. »
Jule et Bylon hochèrent la tête pour dire bonjour. Isiode s’approcha et on commença à discuter.
Puis on partit.

Chapitre 2 – Un point violet

Une heure plus tard, on lança le premier filet, puis Jules, Isiode et Manier remontèrent le filet et un paquet de poisson s’étala sur le plancher.
Il en avait tellement voire même trop. Je n’en aurai jamais pêché tant.
Nous commençâmes à manger. Quand on eut terminé de manger, on reprit la pêche. Au bout de trois lancers, on se mit à couper le poisson.
Quand des policiers arrivèrent et nous dirent :
« – Que faites-vous là ? Vous n’avez pas le droit de pêcher ici ! Si vous ne partez pas d’ici tout de suite on va vous mettre une amende. Je vous rappelle que vous devez aller à trente nœuds des côtes ! »
Personne ne répondit, visiblement choqué. Je pense que ce n’était pas normal, mais tous se mirent au voile et on partit.
Deux minutes plus tard, on continuait à naviguer quand tout d’un coup une tempête et un grand trou se creusa dans la mer. Le trou nous obligeait ou plutôt nous attirait au fond de la mer. Je fus pris par la panique. Je ne pouvais plus bouger tellement j’avais peur. J’étais entrain de regarder mes amis hurler et courir dans tout les sens . Je fus tiré de mes pensées par le cri de Jules :
« – Louis détache l’ancre et jette-la de l’autre côté pour faire basculer le bateau ! »
Je pris mon courage à deux mains et je lançai l’ancre du côté qu’il avait dit et tout coup le bateau bascula. Je tomba et me transperça la main. Je poussa un cri de douleur quand Raelchel me prit et me mit sur le tas de poissons qu’on avait pêché.
je m’endormis très vite.
Quand je me réveillai, je vis un bandage à ma main et j’entendis dire:
« – On en est enfin sorti. »
Je sortis dehors et je vis qu’il grêlait encore mais qu’il n’y avait plus de trou mais c’est là que je m’aperçus qu’il y avait un point violet. Je demanda à Isiode s’il savait ce que c’était. Il me répondit non de la tête.
D’un coup il vira au rouge, puis au jaune, enfin il disparut dans le noir.
C’est là qu’on entendit un gros « CRAC ».
L’un d’eux nous cria:

« – Un boulet de canon tous aux canots de sauvetage ! »

Quand tout le monde eut monté dans les canots de sauvetage malgré qu’on était en deux groupes, on partit. On vit le canot devant nous couler et le bateau se faire emporter par un filet métallique quand je me pris une planche en pleine tête,
juste avant de m’évanouir, je vis mon canot cou…coul..ler!

Chapitre 3 – Au feu

Je rouvris mes yeux et je vis que j’étais dans un chalutier et qu’il y avait des marins de couleur jaune mais je refermai mes yeux peu à peu. Cette fois je me reveillai dans un hôpital blanc et j’entendis « Il est réveillé ! »
Au début, je vis tout mes camarades mais d’un battement de cil quatre de mes amis disparurent. Il ne restait plus qu’Isiode, Charles et Raelchel.
Je ne me levai pas, tellement j’était triste de perdre mes amis… Je n’ai pas eu le temps de sécher mes larmes que l’alarme incendie retentit dans ce grand hôpital, tout le monde essaya de garder son calme et fut évacué, même moi.
L’alarme s’éteignit mais j’entendais toujours mon infirmier me parler pour me rassurer c’est là que j’entendis un infirmier dire à Isiode : « – Il faut voir ce qui a provoqué cela. J’ai déjà envoyé une équipe. Ils vont bientôt me rappeler. »
Il y avait un silence car tous regardait l’hôpital quand j’entendis un téléphone sonner puis une voix lança : « – un feu vient de s’allumer, il faut sortir vite ! »
Une autre voix parle mais ce n’était pas la même personne : « – la porte de sortie est fermée ! Il faut venir l’ouvrir ! »
Trois personnes filèrent ouvrir la porte et revinrent avec les autres. Je vis trois gens filer en douce. Je me concentrai tellement sur ce qu’ils avait dans leurs mains que je n’entendis même pas l’hôpital et c’est là que je vis un détonateur dans leurs mains !

Chapitre 4 – L’enquête au commissariat

Après quelques jours de repos, je décidai de faire mon rapport aux policiers. Mais quand je rentrai dans le commissariat, je ne vis personne et j’entendis:

« – Butez ce vaurien ! Il est resté trop longtemps vivant et il ne faut surtout pas qu’il aille dans la prison ! »

Je pense qu’ils ont déjà chopé mes amis du bateau. Cette pensée me frustra. Mais je décidai de mener une enquête. Alors je courus vers l’armurerie sans faire de bruit. Je vis une sorte de voleur à l’entrée. Heureusement que j’avais cette araignée de mer, je lançai une de ces pattes pour l’attirer et je réussis. Puis quand il fut assez près, je lui donnai un gros coup de l’animal en pleine tête, il en fut assommé.
Je faillis pousser un cri de victoire quand j’entendis des pas se rapprocher de moi. Je courus à l’armurerie. Je pris de quoi m’équiper : un pistolet à fléchettes pour endormir, un gilet par balle et un sandwich. Je le mangeai très vite. Puis je regardais si j’était aussi fort avec ce pistolet qu’avec la carabine car je jouais souvent à la carabine dans les fêtes foraines.
Je partis en direction de la prison et je dus endormir des voleurs. Je rentrai dans la prison, j’en vis pleins et encore pleins, tellement que je ne sus les compter et les policiers était enfermés en cage. J’entendis dire :

« – Notre plan 64 55 va peut-être échouer à cause de ces survivants ! Rendez-vous au 64°554°6600° ! »

Il y avait trop de gardes pour que je les libère. Du coup je sortis et rentrai chez moi.
Quand je pris le diner, mes parents me posèrent que des question sur ce qui c’était passé à la caserne des policiers. Mais moi je me demandais plutôt ce que c’était le rendez-vous 64°554°6600° ?

Chapitre 5 : les recherches puis le voyage

Je rentrai dans ma chambre pour dormir. En réalité, j’allais faire des recherches sur ce que j’ avais entendu. Je regardai ce que cela voulait dire et je trouvai : c’étaient des coordonnées au beau milieu d’un désert de glace.
Le lendemain matin, je demandai à mon père d’aller chez grand-père en cheval car il ne voulait pas que je prenne la voiture et pour y rester quelques jours. il me dit oui de la tête. Je pris mes affaires pour le froid et mon cheval. Mais j’avais menti, j’allais au désert de glace.
D’abord je suis allé chez Isiode pour le convaincre de venir avec moi et il finit par m’accompagner. On commença ce périlleux voyage tout en papotant :

« – Cela ne t’a pa choqué ce qui c’est passé ? » dit-il.

« – Si mais je dois absolument découvrir ce qu’ils manigancent… » lançai-je.« –

« – Ok.

– Tiens ce pistolet à fléchettes pour endormir

– Où tu l’a trouvé ?

– c’est une longue histoire… »

Quelques jours plus tard, on s’arrêta devant un hélicoptère avec deux pilotes morts.
Je vis mon ami terrifié. Je dis en changeant de sujet :

« – Regarde des empreintes de pas… on les suit ! »

Isiode hocha la tête et on partit. On s’arrêta net devant une falaise, on dut l’escalader tout en laissant les chevaux en bas. Quand on fut arrivés en haut, on repartit. Dans le chemin on dut endormir des voleurs au passage.
On arriva devant une immense grotte, on fit griller des saucisses puis on les mangea et on s’en alla. Quand on sortit de la grotte, on atterit devant des centaines de chars et de bunkers. Je pris le bras d’Isiode. Je l’amenai derrière un rocher pour parler d’un plan.

Chapitre 6 – De grandes découvertes

« – Isiode tu les distrais. Et moi je rentre dans la base, ensuite tu me rejoins ici je vais t’ouvrir la porte et on ir… »
On fut interrompu par des bruits de pas. Je lâchai la carte de la base que j’avais trouvé sur un de ses assassins voleurs. On prit nos pistolets prêt à tirer. On les pointa de nos armes et je leur fis signe de venir. Quand ils furent assez près de nous, on leur murmura :

« – Mains en l’air ! »

Le vielle agita une dynamite et cria.

« – Lâchez vos guns ! Ou je nous fais tous sauter ! »

On lâcha nos armes à feu et on se parla à l’oreille :

« – Ce ne sont pas des gardes de la base des voleurs, ils auraient été plus armés.
– Je suis d’accor… »

Mon ami fut coupé par un jeune homme.

« – On n’est pas des soldats !

– Alors qui êtes-vous ? » Répondis-je.

– Je suis Hugo, un gars la campagne. Voici Lise et Georges, de très grands alpinistes !
– Moi, c’est Louis un pêcheur, avec mon ami Isiode. On mène une enquête sur ces voleurs là bas. » Et je pointai du doigt les chars et les bunkers.

« – Que voulez-vous faire ? » Demanda le l’alpiniste.

« – Moi je vais au point numéro 10. » Dit le paysan.

« – Quel point numéro 10 ? » Demanda Isiode.

« – Celui là. » montra Hugo sur sa carte.

« – Nous allons voir à l’intérieur de la base. Vous pouvez nous donner de la dynamite ? » Demandai-je.

« – Oui et peut vous aider. » Dit Georges.

« – Allons-y ! » Dit Lise.

Je regardai Hugo s’en aller. Il se retourna brusquement et me lança un talkie en me disant.

« – On se tient au jus. »

« – Attend attrape ça ! T’en auras besoin. » Dis-je en lançant un de mes sacs.

Je le vis disparaitre dans le tunnel. Puis je proposai mon plan, tous hochèrent la tête. Georges balança une dynamite pour attirer les chars. Ensuite Isiode monta dans un des chars un peu éloignés et endormit toutes ces crapules. Puis il fit signe à Lise de venir conduire. Elle rentra dedans et le conduisit en faisant semblant de se faire changer et on réussit. Georges et moi allons au passage secret en attendant qu’ils ouvrent la porte. Quelques minutes plus tard, la porte s’ouvra et on vit dix voleurs en sortir. Georges courut en lançant une dynamite et « boum » ! Les cambrioleurs sont tous étourdis.
On réussit à rentrer.
Je vis quelques heures plus tard Isiode et Lise arriver en courant.

« – Pourquoi avez-vous mis autant de temps ? » Dis-je.

« – C’est une longue histoire… » Répondit Lise.

« – Bon on y va. » Lança Georges.

On partit jusqu’à arriver devant le sas. On y mit des dynamites et on fit tout sauter.
On y vit un énorme monstre.
Je vis bien malgré mon angoisse des bouts du bateau, du commissariat, des portions de l’hôpital et nos amis pendus.
Je remarquai que tous étaient terrifiés de cette découverte…

Chapitre 7 – L’évasion

On courut jusqu’au hangar. On rentra dans l’hélicoptère. J’appuyai sur le bouton de permission d’ouvrir la porte et l’accès nous ait refusé, du coup Isiode et moi décidâmes d’aller dans la salle de contrôle.
On arriva dans un couloir et on s’arrêta devant une salle. On aurait dit un marché noir, il vendait des tas et des tas de trucs bizarres. Je compris que c’étaient des contrebandiers.
On découvrit une affiche marquée avec pleins de lettres différentes dont certaines sont écrites en gras.
« ESTZALESTTRPSTMONHKTEDNGUMORRMIXUOWXNTRSLQTILVYHKZ349RERVADDVRBDANSSSNWWMRLJVS39871PQH
« – Quoi ? » cria Isiode.
Et pleins de soldats, non des contrebandiers nous poursuivirent. On arriva dans un couloir toujours en train de se faire poursuivre et d’autres contrebandiers nous bloquèrent la route.
J’ai failli oublier mon fumigène, je le lançai et monta en tirant mon ami dans les conduits d’aérations. On se dirigea vers la salle de contrôle. Quand on atterrit, il n’y avait personne.
Je regardai sur les caméras de sécurité et je vis tout le monde dans la salle du monstre pour le faire larguer.
J’autorisa l’ouverture du hangar. On courut jusqu’à l’hélicoptère sans rencontrer personne. Quand on arrive, on commença à manger ce que Georges et Lise nous avaient apporté, puis on leur raconta ce qui s’était passé.
Puis on décolla pour empêcher le largage…

Chapitre 8 – Le largage

Trente minutes plus tard, on trouvâmes enfin où il le larguait. Il me paraissait immense même si je l’avais déjà vu. Je décida d’appeler Hugo.
« – Allo ? On aurait bes… »
Je fus coupé car notre engin avait été touché et mon talkie tomba parterre. Heureusement ce n’était rien de grave. Isiode appela Lise pour utiliser les missiles et lui dit :
« – Vise les avions qui portent le monstre. Louis, occupe-toi de ceux qui nous attaquent ! »
Je savais qu’il avait fait un stage de pilote autrefois. Je dis à Georges :
« – Appelle les militaires ! »
Georges sortit son téléphone et commença à les appeler.

« – Allo ?

– Oui, allo ?

– Nous avons besoin d’aide ! On est dans les Monts de Glace, on se fait attaqués par un énorme monstre !!!

– Vous vous foutez de moi ?? »

Il n’eut pas le temps de répondre que le téléphone se coupa. J’avais oublié de détruire les ennemis, je me mis à la mitrailleuse.
Personne n’attaquait, cela m’a paru étrange… Puis je remarquai que tous les avions étaient en train de porter la créature. Ensuite ils commencèrent à le déposer, on ne pouvait rien faire à part le mitrailler. Puis il commença à détruire la ville. Tout le monde criait, courait, hurlait, s’enfuyait. Jusqu’à ce que des policiers arrivèrent, mais ils ne pensaient pas avoir une aussi grande menace. Puis le monstre se mit à détruire une deuxième ville sauf que cette fois une armée de militaires se dressa devant lui…

Chapitre 9 – Le combat

Après quelques heures de combat, le monstre continua à détruire des villes et des villes. Je sautai enfin de l’engin et j’atterris sur la tête du monstre pour lui faire sauter la tête. Mais je vis que sa tête était si grande, qu’il me fallait plus de cent dynamites ! Je devais alors faire vite. Je mis tous les explosifs possibles et d’un coup je sentis de la peau, je sus que c’était la main du monstre.
Je fus projeté loin. Pendant que j’étais dans les airs, je vis un dragon faire exploser les dynamites. Ca y est ! On a tué le monstre !
J’avais passé la chaîne de montagnes et je savais que c’était la fin alors je fermai les yeux.

Je me levai chez moi avec tout le monde.
Je vis même Hugo et son dragon, je lui fis coucou puis je me rendormis.

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