10 juillet 2021
Le réveil sonne à 4h30 du matin. Vite nous avons une demi-heure pour rassembler les affaires, réveiller les enfants, les aider à s’habiller vu qu’ils sont tout embrumés… On prend nos 4 sacs que les mules porteront et c’est parti dans le bus de l’agence qui nous amène sur le lieu du trek.
A 7h, nous faisons un premier stop pour remplir l’estomac avec un bon petit déjeuner copieux, notamment une bonne crêpe. Puis nous reprenons la route pour arriver vers 8h30 à notre point de départ : Soraypampa. Une fois sur le parking, on enlève toutes les couches de mérinos qui sont de trop maintenant que nous allons marcher et nous réchauffer. On vérifie que tous les sacs sont là pour les mules, que nous avons l’eau et de quoi motiver les troupes en sucrerie, nos 6 garçons… on est tout bon, on suit notre guide, Abel, pour ces 5 jours. On découvre avec joie qu’il parle non seulement très bien anglais mais bredouille un peu de français aussi, c’est parfait. Avant même de commencer, Abel nous montre le fameux Salkantay, que nous approcherons le lendemain.
Notre randonnée commence par 3km de montée plutôt raide, près de 300m de dénivelé positif. Abel va à un rythme tranquille et fait quelques pauses sur l’ascension. Il en profite pour se gaver de coca jusqu’à créer une boule sous sa joue qu’il mâche sans discontinuer. Il en fait goûter aux enfants qui recrachent très rapidement les feuilles ! Heureusement Caroline a des petits cacahuètes enrobées de chocolat pour faire passer ce mauvais souvenir et doper nos petits pour continuer à grimper. J’avoue que pour moi la montée est difficile, je suis encore très fatiguée, sûrement un reste du covid mais on est là pour se dépasser alors on bosse son mental et on avance.
Après 1h30 de marche, nous arrivons au sommet et à l’objectif de cette journée : la lagune de Humantay. Nous découvrons une lagune d’un bleu acier entourée de glaciers. Le paysage est juste incroyable. Nous sommes à 4280m d’altitude. Il y a pas mal de monde sur le site car c’est une randonnée que l’on peut faire à la journée, on peut même louer une mule si on n’a pas le courage de marcher mais tous nos petits ont bien grimpé sans problème. Nous restons une petite heure pour profiter de tous les points de vue et faire une multitude de photos souvenir.
Nous redescendons ensuite jusqu’au campement de Soraypampa en une petite heure. Puis nous remontons le chemin avec dans notre viseur le Salkantay. Notre point de chute pour la nuit se trouve une centaine de mètres plus haut à 45 minutes des campements des autres agences. Il nous faut faire encore un petit peu d’effort avant d’arriver à notre « camping » pour la nuit et surtout à notre pause déjeuner. Au total pour cette première journée de trek, nous avons fait 7,16km, 578m de dénivelé positif, 300m de dénivelé négatif à plus de 4000m d’altitude.
Nous avons la surprise de découvrir que nous mangerons dans une maison en dur, c’est une excellente nouvelle car cette première nuit est réputée la plus froide du trek, vu qu’on est à plus de 4200m d’altitude. En plus, cette nuit, nous ne logerons pas en tente mais dans une bulle de verre avec vue sur le Salkantay et le ciel étoilé ! Wahou !! c’est un trek de luxe !! Quand nous découvrons les bulles, on est stupéfait par la vue, le confort, la chaleur captée le temps de l’ensoleillement. Nous avons 4 bulles, une pour chaque couple et les autres pour les enfants qui décident de la répartition. Les 4 grands veulent en partager une, ils se serrent un peu. Il en reste une pour les 2 petits qui transforment leur chambre de verre en salle de jeu Lego.
Nous profitons de notre premier déjeuner de notre cuisinier attitré pour le trek, Matthias, le meilleur de Cusco parait-il. On confirme ! Le premier repas est déjà exceptionnel, on est loin de l’almuerzo local et en plus quand on voit les conditions pour cuisiner ça tient de l’exploit. On en sort repus, autant dire que finalement ce trek ne va pas nous faire perdre du poids :). Nous profitons de la fin de journée pour piquer un petit somme histoire de récupérer du réveil matinal. Puis nous nous retrouvons avec nos amis pour le « goûter » : popcorn et thé de coca. Abel nous rejoint pour nous briefer sur la journée du lendemain. Puis la soirée passe très vite entre discussions, jeux de carte, repas du soir et la fatigue qui se fait sentir. A 20h30, tout le monde est couché sous un beau ciel étoilé, magique !
Le lendemain matin, notre cuisinier et son assistant viennent nous réveiller à 5 heures du matin avec un thé de coca, c’est ce qu’on appelle un réveil en douceur. Nous nous préparons, rassemblons les affaires, aidons les enfants à émerger et s’habiller afin que tout soit prêt pour aller prendre le petit-déjeuner. Ce matin, nous avons le droit à des crêpes, des pains, des œufs… On est remplis d’énergie pour commencer cette grosse journée. Nous sommes chanceux, nous sommes que 2 groupes de 10 à faire le trek aujourd’hui, on va donc croiser personne. En temps normal, il peut y avoir jusqu’à 500 marcheurs le même jour.
Nous débutons par une montée de 300m de dénivelé sur 5km pour rejoindre le point culminant de notre trek au plus près du Salkantay. Afin d’économiser nos deux petits, Malo et Jolan, nous avons décidé de louer les services d’une mule le temps de l’ascension. C’est la seule aide qui pourront avoir de tout le trek. Les 2 petits sont ravis quand il voit leur cheval tout frisé qui va les amener jusqu’au sommet. Ils sont un peu serré sur la mule mais au moins ils se tiennent chaud, car à ne pas bouger, ils vont vite se refroidir à cette altitude.
La montée est bien moins rude que celle d’hier. Nous montons tranquillement avec plusieurs pauses qui permettent de bien assurer l’ascension. Dès ce deuxième jour, nous perdons définitivement les grands qui nous sèment de 1 ou 2 km. Abel décide du coup de leur confier un talkie walkie afin qu’ils avancent à leur rythme et qu’ils s’arrêtent selon ses instructions pour nous attendre. Les grands sont ravis de cette nouvelle liberté !
Au sommet, à 4622m, nous laissons donc la mule. Nos petits sont frigorifiés. On prend le temps de quelques photos avant de vite démarrer la descente afin que tout le monde se réchauffe. Il fait très froid et venteux là-haut.
Nous entamons la descente. Il faut être prudent, le chemin est pleins de caillasses on peut glisser facilement. Nous descendons sur 7km pour rejoindre le refuge pour la pause déjeuner. Le paysage commence à changer, nous longeons un torrent. Nous quittons petit à petit ce désert de roches et commençons à voir les premières végétations. Les 4 grands sont toujours en avance devant nous. Je suis à la traine avec Malo qui a du mal à se réchauffer.
On finit tous par se rejoindre à la pause déjeuner. Nous sommes installés sous de grandes tentes où on se refroidit vite à cause des courants d’air. Le repas tarde malheureusement à arriver car les mules ont pris du retard en transportant deux jeunes filles de l’autre groupe qui ne pouvaient marcher à cause du mal des montagnes. Du coup, on a bien le temps d’avoir froid, on ne rêve que de vite décoller après avoir mangé un bout. Les enfants, eux, s’occupent avec une petite partie de football improvisée avec les locaux et pour ma part je pique une sieste car mon ventre me fait des siennes sur cette journée, pas facile…
Mais le temps se gatte, on a le droit à la pluie, puis la grêle. Finalement, nous repartons après une petite accalmie sous une pluie finie. Il nous reste encore 10km à descendre. Au bout d’une heure, la pluie cesse. Ouf ! on arrive à terminer la ballade au sec et avec des fringues sèches à l’arrivée (le plus important !). On commence à s’enfoncer dans la jungle. Et oui, nous avons rejoint l’Amazonie. Il nous faut 3 heures pour rejoindre le campement de ce soir. Les grands toujours devant nous sont en train d’écosser les haricots quand on arrive enfin.
Au total de cette journée, nous avons fait 20,33km avec un dénivelé positif de 640m et un dénivelé négatif de 1800m et traverser 3 écosystèmes différents. Ce soir, nous bénéficions d’une douche chaude, bon c’est la gérante qui surveille et allume/éteint l’eau mais ça le fait :). Comme la veille nous avons le droit au goûter popcorn / thé de coca, une partie de jeux de cartes, avant un dîner encore merveilleux de Matthias. Après cette longue journée, on va se coucher tôt et on ne traine pas à s’endormir !
Le lendemain matin, nous sommes toujours réveiller par le bienveillant Matthias et son aide cuisinier avec un thé de coca à 5h du matin. Après le petit déjeuner avec des chaussons aux pommes maison notamment :p, nous remercions le muletier et ses mules car ici s’arrête son chemin, il rebrousse chemin et nos affaires nous suivront en voiture à présent.
La journée s’annonce plus facile. Nous descendons presque sur du « faux-plat » tout du long. Nous traversons la rivière pour rejoindre l’autre versant de la montagne. Nous tournons encore autour du Salkantay, c’est la dernière fois qu’on le voit de ce côté. Nous traversons un village puis longeons la rivière qui coule dans une vallée profonde. Sur le chemin Abel nous fait découvrir la flore de l’Amazonie. Il s’arrête une première fois pour nous montrer les baies dont se servent les indigènes pour colorer la laine d’alpaga notamment. Il fait ensuite des dessins sur chacun des garçons, ils sont ravis.
Nous continuons sur le nouveau chemin qui a été creusé dans la montagne. L’ancien sur le flan en face s’est écroulé par endroit. C’est impressionnant le nombre de glissements de terrain qu’il peut y avoir dans cette région, très nombreux lors de la saison des pluies. Pour traverser, les habitants du coin ont une espèce de cagette dans laquelle il s’assoit et il la tire sur un câble au dessus du ravin pour rejoindre l’autre côté… effrayant !!
Nous faisons encore 2 stops pour goutter les fruits du coin : granadilla, orange et avocat. Ensuite, nous prolongeons encore d’une trentaine de minutes pour profiter d’un petit bain de pied avant de rejoindre notre van qui nous amène à notre campement de ce jour. Au total sur cette journée, nous avons marché 13,35km avec 140m de dénivelé positif et 700m de dénivelé négatif.
Nous arrivons pour l’heure du déjeuner. Ensuite nous avons une après-midi pour récupérer en vue de la grosse journée du lendemain. Pour nous aider à être bien reposés, Abel nous amène aux bains chauds de Santa Teresa. On est royals dans des piscines naturelles creusées à même la roche, avec une vue spectaculaire sur les montagnes alentours, une lumière de fin de journée et une eau bien chaude (tellement rare depuis qu’on voyage en Amérique du Sud, on l’apprécie d’autant plus).
Nous rentrons à la nuit pour le goûter popcorn. Puis vient le dîner. Matthias s’est lâché sur ce repas, car c’est le dernier qu’il nous prépare : il y a en quantité et en qualité, sans parler de la décoration des plats. C’est un bonheur pour les yeux et les papilles. Pour couronner le tout, nous avons le droit à un joli feu de bois et Abel a prévu les chamallows à faire griller pour les enfants. On passe un très agréable moment. Encore une fois nous allons nous coucher tôt, surtout que demain s’annonce rude.
Le lendemain, Matthias nous lève de nouveau à 5h du matin mais sans le thé de coca cette fois car nous ne sommes plus qu’à 1500m d’altitude. Nous reprenons le van pour démarrer le trek au pied de l’ascension du jour.
Nous débutons par une montée de 3 heures jusqu’au sommet de la montagne. Nous faisons déjà un stop au bout de 30 minutes au Starbuck’s local. Nous sommes en fait dans une région de production de café et nous nous arrêtons chez un producteur qui nous explique comment il le produit et il le prépare et biensûr nous finissons par la dégustation. Le monsieur nous joue un morceau de flûte de pan avant de nous laisser prendre la route.
Nous reprenons notre ascension. Nous longeons le flan de montagne avec un très beau panorama sur la vallée. Au bout d’un moment, nous rencontrons une femme en pleurs avec sa mule. Elle nous explique que son autre mule a pris peur et est tombée dans le vide. Avec la végétation luxuriante on ne voit pas grand chose mais vu la raideur de la pente on ne donne pas cher de sa mule. Abel finit par nous rejoindre et nous invite à continuer notre ascension pendant qu’il aide cette dame. Heureusement, la mule est bien toujours vivante et ils arrivent à la récupérer. Plus loin, nous rencontrons ses deux filles en larmes qui ont dû continuer de marcher vers la maison alors qu’elles savaient leur maman avait perdu la mule. Nous avons pu les rassurer et elles ont repris le chemin avec nous jusqu’à leur maison qui est en fait une étape pour les marcheurs du trek. Il y a même une balançoire dont profite les enfants.
Nous reprenons la dernière partie de cette ascension qui n’est pas facile pour les 2 plus petits. Il s’agit en fait d’un ancien chemin de l’inca. Du coup on y trouve des marches en pierre souvent très hautes, ça tient de l’escalade pour nos deux petits gars ! Ils tiennent bons et nous finissons cette rude montée.
Encore quelques efforts après le sommet, nous arrivons sur un ancien site Inca qui s’ouvre sur la vallée de Hydroelectrica, le Machu Picchu, et l’Ausangate. La vue est à couper le souffle, un beau cadeau après notre ascension de 3h.
Nous continuons un peu plus loin sur les hauteurs pour profiter encore d’une meilleure vue sur le Macchu Picchu.
Puis vient le moment de la redescente jusqu’à la vallée d’Hydroelectrica. Il nous faut 2h pour faire les 1000m de dénivelé négatif sur seulement 6 km, autant dire que ça descend vraiment raide avec encore des grosses marches Inca sur le chemin. Les grands sont loin devant comme toujours. De notre côté, on fait des jeux avec les petits pour occuper leur esprit afin qu’ils arrivent à gérer la descente sans penser à la fatigue. Nous ne faisons qu’une petite pause au bout de 1h30 de marche puis traçons jusqu’à la station Hydroelectrica dans la vallée pour notre pause déjeuner.
Autant dire qu’une fois arrivés au restaurant, ce sont les adultes les plus fatigués, les genoux et les cuisses ont bien ramassé avec cette dernière partie. Nous retrouvons l’almuerzo classique que notre cuisinier Matthias nous avait fait oublier. Bref c’est un repas qui nourrit. Par contre, Louis se sent pas bien d’un coup : nausée, grosse fatigue… Je réalisé qu’il a fait une insolation car mon entêté de fils n’a pas voulu m’écouter et a gardé son bonnet et son pull en laine d’alpaga toute la matinée en plein cagnard. Abel, notre guide, nous propose de le ramener en train à notre hôtel d’Agua Calientes pendant que nous finissons la randonnée. Louis ne se fait pas prier et accepte volontiers. Nous abandonnons donc Abel et Louis pour la dernière marche de la journée.

La marche suit les rails du train et permet de tourner en contrebas de la montagne autour du site du Machu Picchu. Nous apercevons par moment certaines constructions inca. Cette dernière partie est facile 10km de faux plat, mais après les 15km dans les jambes, ça commence à tirer. On va chercher au fond de soi, le mental pour soi et pour les enfants (enfin surtout les petits) afin de terminer cette randonnée.
Nous arrivons à la nuit dans Agua Calientes où Abel nous attend pour nous guider jusqu’à l’hôtel. Ouf on est contents d’être arrivés, fiers de nous et que cette journée était belle ! Au total pour cette quatrième journée, nous aurons parcouru 25km avec 1273m de dénivelé positif et 1000m de dénivelé négatif : un record pour toute la famille !!Nous prenons une bonne douche chaude puis nous nous retrouvons pour un apéro bien mérité où l’on partage beaucoup avec notre guide. C’est comme ça que nous découvrons au hasard de la conversation que nous avons rencontré la mère d’Abel sans le savoir dans son village natal de Chinchero dans une fabrique de vêtements en alpaga qui s’avère être leur maison de famille 🙂 . Le monde est parfois si petit…Nous dinons tôt à l’hôtel afin de vite se coucher car au delà de vouloir récupérer, nous devons encore une dernière fois nous lever à 4h30 du matin pour le clou de ce trek : le Machu Picchu.
Le lendemain, le ton est donné. On lève toute notre marmaille à 4h30, on les aide à se préparer, on range tous les bagages, on avale vite fait le petit déjeuner et c’est parti. Nous voilà à 5h30 dans le bus qui nous monte sur le site du Machu Picchu pour l’ouverture de 6h du matin. Nous sommes accompagnés d’Abel et Tonio un autre guide de l’agence pour respecter les consignes de la pandémie : un guide pour 7 personnes… En réalité, on restera tous les 10 avec les 2 guides en se faisant discret vis à vis des surveillants. De même, ils sont très pointilleux sur le port du masque. Il faut être habile pour arriver à faire des photos sans masque…
Abel nous fait grimper directement sur la plateforme qui domine tout le site. A cette heure, le soleil n’a pas encore pointé son nez. Nous découvrons le site sans personne, c’est incroyable. Ils ne sont même pas à 10% des afflux de visiteurs habituels. Encore une chance pour nous de visiter un tel site pratiquement seuls. Abel nous raconte l’histoire du Machu Picchu, du moins ce que les historiens imaginent car il y a tellement de mystères autour des incas et de comment ils sont arrivés à construire un tel site dans un environnement aussi complexe : montagnes élevées et escarpées, zone sismique, la pluie responsable de nombreux glissements de terrain dans la région… Du haut de la plateforme, nous attendons que les premiers rayons du soleil illuminent le site. Quelle chance de voir ce spectacle ! Même si on a vu mille fois le Machu Picchu en photos ou dans des documentaires, il n’y a pas à dire c’est un spectacle saisissant de le voir en vrai avec tout le mystère qui l’entoure et de le découvrir dans son environnement, toutes les chaînes de montagnes environnantes, qui le sublime.
Après ce spectacle de lumière, nous descendons découvrir le site lui même, ces différents édifices, temples, habitations… Pendant près de 3 heures, nous arpentons ses ruelles et ses terrasses.
Puis c’est l’heure des adieux avec Abel qui clôture ces 5 jours de trek sur une dernière photo de groupe devant le Machu Picchu.

Au prix d’un dernier effort, nous rentrons à pied à Agua Calientes. Il nous faut redescendre toute la montagne, 500m de dénivelé négatif, la randonnée d’hier se rappelle alors à nos vieux genoux…
Au bout d’1h30 de marche, nous voilà revenus à notre hôtel. Nous avons le temps de déjeuner au restaurant avant de rentrer sur Cusco. Puis à 14h30, nous prenons le célèbre train touristique qui fait une partie de la vallée sacrée non accessible en voiture jusqu’à Ollantaytambo : c’est une expérience unique pour découvrir encore d’autres ruines Inca sur le chemin. Tout est fait pour profiter du panorama ave des fenêtres de toit dans les wagons. Après ces 5 jours, malgré les paysages traversés, nous perdons les 3/4 des troupes dans le train : ça ronfle !
Une fois à Ollantaytambo, un mini bus nous attend pour nous ramener à Cusco vers 19h.
Ainsi s’achève ce trek, partagé avec nos supers amis de vadrouille, un défi relevé en famille, des paysages incroyables… Cela restera véritablement un de nos meilleurs souvenirs de tour du monde.
Nous sommes des Salkantay survivor !!!

Les photos sont vraiment magnifiques
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